Le monde du travail s’empare de la nuit, le couvre-feu ne nous force plus à rester enfermé à domicile et les commerces offrent aux usagers des services sans discontinuer, à chaque heure et à chaque jour de l’année. Cette extension d’usages diurnes dans le monde nocturne ne risquerait-elle pas d’affecter la perception que l’on a de la nuit et surtout, d’affecter sa poésie ?










