La nuit n’apporte pas qu’un voile ombragé sur la ville. C’est aussi à ce moment que l’on se permet de refaire le monde, de se plonger dans des réflexions presque philosophiques sur ce qui constitue notre environnement. Le calme de la nuit invite les insomniaques à se perdre dans leurs rêves et leurs pensées, si ce n’est directement dans la poésie de la ville qui dort. À l’image de Robert de Niro dans Taxi Driver, la nuit apporte cette dimension qui autorise l’évasion, la découverte, l’expérimentation de la cité et de soi-même.















